La liberté de parole des fonctionnaires sur les réseaux sociaux se heurte à de nombreux obstacles. La réalité de ce qui fait ces nouveaux médias (les groupes, les limites de l’anonymat…) rend aléatoire le maintien de la parole dans la sphère privée. La jurisprudence confirme l’obligation de prudence.
Article écrit par Michaël VERNE et Cyril AUGER
Publié à la Lettre du cadre territorial – Mars 2019 et sur le site internet ici